Le blog de sensei jo

Le sensei est encore fébrile sur son genou, il ne reprendra les cours que le 20 novembre.

Il était une fois, dans le dojo de Sensei Jo. Un élève que l’on nommait Pikatchu, se présenta à la porte du dojo. Il avait entendu qu’un maitre donnait des cours de karaté et enseignait une certaine philosophie des arts martiaux.

Il entra humblement dans le dojo, et commença son apprentissage, élève assidu, il ne rechigna pas à la tache, il pris des coups mais en donna aussi. Ceinture après ceinture, il arriva à la ceinture noire.

C’est à ce moment que s’opéra la métamorphose, des envies de dépasser le maitre, se montrant arrogant… Alors, il passa le diplôme d’enseignant, ses premiers élèves étaient deux petits suédois, cela l’aida par la suite à comprendre les manuels d’Ikéa.

Il commença à se préparer pour son 2ème Dan, de trouver sa voie en donnant des cours en variant ses publics. C’est avec les babys qu’il trouva sa voie. (Des vidéos prouvent que le sensei devrait avoir des problèmes avec la fédération avec la remise en cause leurs idées pédagogiques.)

Mais sa défiance auprès du sensei grandit, il s’en prend aux José angel’s, mais il s’en mord les doigts.

Il a l’honneur de passer devant le sensei pour son passage de grade, qu’il réussi. Les cours avec les petits sont de plus en plus appréciés aux sein de la section, il réussi même à former un apprentis.

Il ouvra une autre section au sein du club, le Krav Maga, ou l’on peut voir sa vraie nature, le vice (ceci est à l’opposé de la philosophie du sensei).

Il passa huit années parmi nous, tous les élèves se rappelleront de lui, il fut l’un des piliers de la section, il amenait par sa présence une certaine arrogance et une décontraction pendant les cours. Un travail intelligent sans se prendre au sérieux, il avait bien compris la philosophie du sensei. Qu’il repende celle-ci dans sa nouvelle région.

 Salut Cyril...

Pikatchu est en perte d'autorité, il est défié par Appoline.

Je le savais, pour une fois notre arbitre national aurait été content de nous arbitrer. L'exercice consistait à un combat souple de 30 secondes et marquer un point décisif. Cela, nous met dans les conditions d'un combat ou nous somme à égalité et la différence se fera sur un point, plus de temps pour construire une stratégie. Il faut saisir la première ouverture qui se présente. 

L'exercice a réussi, tout le monde est resté sur l'aire de combat au moins un tour. Le résultat est que tout le monde a laissé un peu de son ADN sur le tapis ou sur les kimonos.

En conclusion, si notre arbitre avait été là, les combats n'auraient jamais durée 30 secondes, et la plupart des élèves seraient sortis pour contact.

Bienvenue au team de sensei jo